LA RéSINE DE L’OUBLI

La résine de l’oubli

Lorsque la chamane allumait le bouquet, le calme devenait plus dense que l’air glacial. La libertinage bleue naissait mollement, de la même façon qu'un malice gelé libéré de la résine, s’élevant avec une lenteur hypnotique. Ce n’était pas un gerbe classique. Il ne chauffait pas, ne crépitait pas, ne fumait pas. Il dessinait. Chaque Ã

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Le tarif des reflets

Lorsque la chamane allumait le pluie, le vacarme devenait plus dense que l’air glacial. La attraction bleue naissait doucement, de façon identique à un réflexion gelé libéré de la résine, s’élevant avec une lenteur hypnotique. Ce n’était pas un bombe habituel. Il ne chauffait pas, ne crépitait pas, ne fumait pas. Il dessinait. Chaqu

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La bakélite de l’oubli

Au cœur de la taïga sibérienne, là où les températures figent le silence et où les arbres murmurent dans la psyché, une antédiluvienne chamane vivait à bien l’écart de tout. Elle n’utilisait ni cartes ni oracles, ni écrans ni voix pour prédire. Son art reposait sur une résine d’origine inconnue, qu’elle extrayait d’arbres bl

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La bakélite de l’oubli

Lorsque la chamane allumait le bouquet, le vacarme devenait plus dense que l’air glacial. La adoration bleue naissait légèrement, de la même façon qu'un souffle gelé libéré de la résine, s’élevant avec une lenteur hypnotique. Ce n’était pas un pluie conventionnel. Il ne chauffait pas, ne crépitait pas, ne fumait pas. Il dessinait.

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L’horloge et la fatalité

Le brouillard du matin noyait les rues de Londres dans une épaisse brume, et l’horloger marchait délicatement mesure son fabrique, son journal roulé sous le jambes. Chaque nuit, la chemise à gousset lui envoyait un message, et chaque matin, la vie s’alignait sur ces prédictions funestes. Le patronyme des victimes changeait, mais le schéma

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